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Comment nettoyer les joints de carrelage : astuces simples et efficaces

Pourquoi les joints de carrelage deviennent sales ou noirs ?

Comprendre les causes : humidité, moisissures et salissures du quotidien

Les joints de carrelage sont en permanence exposés à des facteurs qui favorisent leur détérioration visuelle. L’un des éléments les plus courants est l’humidité. Dans une salle de bain, une cuisine ou même sur une terrasse exposée aux intempéries, l’humidité ambiante s’infiltre dans les micro-porosités du joint, créant un terrain propice au développement des moisissures. Ces dernières apparaissent sous forme de taches noires ou verdâtres, souvent accompagnées d’une odeur caractéristique. Autre facteur aggravant : les salissures du quotidien. Encrassement dû aux résidus de savon, poussières grasses, éclaboussures alimentaires ou encore dépôt calcaire — toutes ces particules s’accumulent avec le temps et ternissent l’aspect des joints.

Dans les pièces à usage intensif comme la cuisine ou la salle de bain, le carrelage est aussi soumis à des variations de température qui favorisent la condensation et l’infiltration d’eau. Ce phénomène constant peut entraîner une usure prématurée des joints, qui deviennent poreux, friables, et donc plus susceptibles d’absorber les impuretés. Il ne faut pas non plus négliger le rôle de la qualité du joint utilisé lors de la pose initiale. Un mortier de jointement bas de gamme ou mal adapté à l’environnement (intérieur humide, extérieur exposé, etc.) laissera plus facilement passer saletés et humidité.

Enfin, l’entretien irrégulier ou des produits inadaptés — trop agressifs ou, au contraire, insuffisamment dégraissants — peuvent aggraver le phénomène. Nettoyer uniquement la surface des carreaux sans insister sur les joints peut entraîner une accumulation quasi invisible dans un premier temps, mais très difficile à déloger ensuite sans solution professionnelle.

Comprendre les causes : humidité, moisissures et salissures du quotidien

Liste des zones les plus sensibles : cuisine, salle de bains, extérieur

Dans une habitation, certaines zones sont particulièrement exposées à la salissure et à la détérioration des joints de carrelage. Ces zones dites sensibles cumulent humidité, vapeur, graisse ou encore variations climatiques qui mettent chaque matériau à rude épreuve. Afin de mieux comprendre où concentrer ses efforts d’entretien et de prévention, voici une liste des lieux les plus concernés par l’usure prématurée des joints.

  • Cuisine : Eclaboussures de cuisson, dépôts graisseux, vapeurs constantes — autant d’éléments qui s’incrustent facilement dans les joints, en particulier autour des plaques de cuisson, de l’évier et du plan de travail. Le nettoyage quotidien permet de limiter l’encrassement, mais certaines zones nécessitent un détartrage et un dégraissage en profondeur régulier.
  • Salle de bains : La concentration en vapeur d’eau et l’usage fréquent de produits cosmétiques rendent cette pièce très exigeante pour les matériaux. Les joints situés autour de la baignoire, de la douche ou du lavabo sont souvent les premiers touchés par les moisissures noires, notamment si la ventilation est insuffisante.
  • Extérieurs : Les terrasses, balcons, escaliers ou abords de piscine sont exposés aux intempéries, UV, et aux variations de température. Les joints de carrelage y subissent un vieillissement accéléré, surtout en cas de gel-dégel. Ils doivent donc être choisis avec soin (joint hydrofuge ou spécial extérieur) et entretenus avec des produits adaptés

Dans ces zones critiques, l’enjeu est double : préserver l’esthétique du carrelage tout en garantissant l’étanchéité des surfaces. Un entretien ciblé, utilisant des produits à la fois nettoyants et préventifs (fongicides ou hydrofuges), est indispensable pour prolonger la durée de vie des joints.

Liste des zones les plus sensibles : cuisine, salle de bains, extérieur

Tableau des facteurs d’usure selon les pièces de la maison

Chaque pièce d’une habitation soumet les joints de carrelage à des contraintes spécifiques. L’humidité n’est pas le seul facteur : température, fréquence d’usage, type de produits utilisés ou exposition aux UV influencent aussi le vieillissement du joint. Pour mieux visualiser ces différences, voici un tableau récapitulatif des facteurs d’usure principaux selon les zones de la maison. Ce comparatif permet de choisir les bons matériaux lors de la pose et de personnaliser son entretien en fonction des pièces concernées.

Pièce Facteurs d’usure dominants Niveau d’exposition Type de produits recommandés
Cuisine Graisses, éclaboussures, vapeur, résidus acides Élevé (zone active au quotidien) Nettoyants dégraissants + joints anti-taches
Salle de bains Vapeur d’eau, humidité constante, produits hygiéniques Très élevé Joints hydrofuges + nettoyants fongicides
WC Humidité ponctuelle, éclaboussures localisées Moyen Produits désinfectants doux + entretien régulier
Terrasse extérieure UV, pluie, gel-dégel, pollution atmosphérique Très élevé Joints pour extérieur + traitement hydrofuge
Garage ou buanderie Abrasion mécanique (va-et-vient), humidité résiduelle Élevé Joints résistants à l’abrasion + nettoyants intensifs
Pièces à vivre (salon, chambre) Poussières, faibles éclaboussures Faible Entretien standard + joints esthétiques à faible porosité
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Ce tableau permet d’identifier quels types de détériorations dominent selon l’emplacement du carrelage, et donc d’adapter non seulement le choix du mortier de jointement, mais aussi les produits d’entretien. Une approche préventive permet de conserver à long terme l’aspect d’origine des surfaces, même dans les zones les plus sollicitées.

Comment nettoyer les joints de carrelage : méthodes simples et produits efficaces

Liste des meilleures astuces naturelles : bicarbonate de soude, vinaigre blanc, savon noir et citron

Avant de recourir à des produits chimiques agressifs, certaines solutions naturelles peuvent s’avérer redoutablement efficaces pour nettoyer les joints de carrelage. Que ce soit dans une salle de bains, une cuisine ou en extérieur, ces produits du quotidien ont fait leurs preuves sur les chantiers. Faciles à utiliser, économiques, et respectueux des matériaux, ils offrent une alternative durable pour entretenir les surfaces sans compromettre la qualité du joint.

  • Bicarbonate de soude : Ce nettoyant multi-usage agit comme un abrasif doux. Saupoudré directement sur les joints humides, puis frotté avec une brosse à poils durs, il permet de désincruster les saletés sans altérer les matériaux. Son utilisation régulière prévient aussi le retour des moisissures.
  • Vinaigre blanc : Excellent détartrant et désinfectant, le vinaigre blanc est idéal pour les zones entartrées, notamment en salle de bains. En le réchauffant légèrement avant application, son efficacité est décuplée. Il est recommandé de le laisser agir 10 à 15 minutes avant de frotter.
  • Citron : Grâce à son acidité naturelle, le jus de citron possède des vertus dégraissantes et blanchissantes. Appliqué pur ou mélangé à du sel fin, il permet un nettoyage ciblé des taches légères sur les joints et laisse une agréable odeur fraîche.
  • Savon noir : Concentré en agents nettoyants d’origine végétale, le savon noir est particulièrement adapté aux joints encrassés par des graisses. Dilué dans de l’eau chaude et appliqué avec une éponge ou une brosse, il redonne de l’éclat sans agresser les matériaux poreux.

Utilisés seuls ou en combinaison, ces 4 produits naturels s’intègrent facilement à une routine d’entretien hebdomadaire. Pour les zones très exposées comme les contours de douche ou les crédences de cuisine, l’alternance entre bicarbonate et vinaigre permet un nettoyage en profondeur suivi d’une action désinfectante. Ce type d’approche préserve la durabilité des joints et limite le recours aux nettoyants industriels plus onéreux.

Utilisation de produits du commerce : que valent les nettoyants spécialisés ?

Face aux limites des astuces naturelles pour déloger des salissures tenaces, nombreux sont ceux qui se tournent vers les nettoyants spécialisés pour joints de carrelage. Disponibles en grandes surfaces de bricolage comme en magasins spécialisés, ces produits sont formulés pour cibler des encrassements bien précis : moisissures incrustées, traces de calcaire, dépôts gras ou encore taches anciennes. Leur composition inclut souvent des agents actifs puissants, comme des oxydants, détergents acides ou enzymes spécifiques, conçus pour pénétrer en profondeur dans les micro-porosités du mortier de jointement.

Sur le terrain, ces solutions offrent un véritable gain de temps. Un gel anti-moisissures, par exemple, pourra rendre leur blanc d’origine à des joints noircis en seulement quelques minutes, là où un mélange naturel demanderait plusieurs applications successives. Les nettoyants fongicides prêts à l’emploi, eux, assurent une action préventive durable contre le retour des champignons et spores. De leur côté, les produits à base d’acide citrique ou peracétique conviennent pour les zones recouvertes de calcaire ou jaunies par l’humidité, en particulier dans les douches à l’italienne ou autour des lavabos.

Les produits spécialisés ne se valent toutefois pas tous. Il convient de vérifier leur compatibilité avec le type de joint (ciment, époxy, joint coloré, etc.) ainsi que la surface de pose. Certains nettoyants trop agressifs peuvent altérer la teinte d’un joint clair ou rendre poreux un joint ancien. D’où l’intérêt de toujours procéder à un essai préalable dans un angle discret. Autre point distinctif à considérer : la forme du produit. Certains nettoyants sont en gel épais pour mieux adhérer à la verticale (parfait pour les murs de douche), d’autres sous forme liquide pour s’étendre rapidement sur de grandes surfaces comme une terrasse en carrelage extérieur.

Enfin, plusieurs marques proposent aujourd’hui des formules écologiques sans chlore ni solvants, particulièrement adaptées à un usage domestique régulier. Plus douces mais aussi plus lentes à agir, elles intéressent surtout les utilisateurs soucieux de préserver à la fois la santé des occupants et la longévité du revêtement. En résumé, si les produits du commerce représentent un investissement plus conséquent que les recettes maison, ils restent incontournables dans les cas d’encrassement sévère ou pour restaurer l’éclat originel de joints négligés trop longtemps.

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Technique manuelle ou nettoyage à la vapeur : quelle méthode adopter selon le type de joint ?

Lorsqu’il s’agit de nettoyer les joints de carrelage, le choix entre une méthode manuelle et un nettoyage à la vapeur dépend fortement du type de joint utilisé, de son état et de l’environnement dans lequel il se trouve. Les joints ciment classiques, très répandus dans les habitations anciennes ou sur les murs intérieurs, réagissent bien à un brossage manuel accompagné d’un produit adapté, mais peuvent être fragilisés par un excès de vapeur chaude qui tend à dilater le mortier et relâcher les particules en surface. Pour ce type de joint, on favorisera donc un nettoyage mécanique, avec brosse à poils durs, en associant des solutions biodégradables peu agressives.

En revanche, les joints époxy ou hydrofuges, plus récents et résistants à l’humidité, supportent sans problème un nettoyeur vapeur à haute température. Ce dernier présente l’avantage d’éliminer efficacement bactéries et moisissures, sans recours à des produits chimiques, ce qui le rend idéal dans les environnements très exposés à la chaleur et à la condensation comme les douches à l’italienne ou les bords de piscines. Sa puissance thermique dissout les graisses, assouplit les salissures incrustées et pénètre dans les microfissures, limitant ainsi la prolifération des microorganismes. Toutefois, sur un carrelage poreux ou mal jointoyé, la vapeur peut accélérer l’usure du support si le passage est trop prolongé.

Voici un aperçu comparatif pour s’y retrouver :

Type de joint Compatibilité brossage manuel Compatibilité vapeur Recommandations spécifiques
Joint ciment Très bonne Moyenne (fragile à la chaleur prolongée) Brosse rigide + produit naturel ou spécialisé doux
Joint époxy Bonne (mais effort plus important) Excellente Vapeur haute température idéale pour entretien régulier
Joint hydrofuge (ex : terrasse) Bonne (résistance renforcée) Bonne à très bonne Brosse + vapeur possible si dépôt important, à doser selon finition
Ancien joint abîmé Excellente (nettoyage localisé recommandé) Faible Éviter la vapeur pour ne pas accélérer la dégradation

Le choix de la méthode doit donc se faire en fonction de l’état du joint, de sa résistance et de l’environnement. Une approche mixte peut aussi s’avérer judicieuse : débuter par un brossage ciblé, puis compléter avec un jet de vapeur sur les zones les plus encrassées. Cela permet de combiner l’action mécanique et thermique tout en limitant les risques d’endommagement.

Prévenir l’encrassement des joints : entretien régulier et solutions durables

Liste des gestes simples à adopter au quotidien pour maintenir la propreté des joints

Au-delà des nettoyages intensifs, préserver l’aspect esthétique et la durabilité des joints de carrelage passe par une série de gestes d’entretien faciles à intégrer dans la routine quotidienne. Ces actions, souvent négligées, permettent pourtant de ralentir l’encrassement naturel, d’éviter l’installation de moisissures et de prolonger nettement la longévité des matériaux en place.

  • Aérer les pièces humides : Ouvrir les fenêtres après chaque douche ou cuisson limite la condensation. L’humidité persistante est l’ennemi n°1 des joints, surtout dans les salles de bains peu ventilées.
  • Sécher les surfaces après usage : Avec une raclette en caoutchouc ou un chiffon microfibre, éliminer l’eau stagnante sur les murs et sols évite les dépôts de calcaire ou les pénétrations dans les pores du joint.
  • Nettoyer rapidement les éclaboussures : Dans la cuisine, un simple passage d’éponge après une cuisson grasse ou une projection de sauce empêche les graisses de s’incruster durablement dans les interstices.
  • Passer un coup d’éponge hebdomadaire sur les joints visibles : Sans attendre que les saletés s’accumulent, il est judicieux de passer une éponge humide légèrement savonneuse sur les lignes de joint (notamment murales), au moins une fois par semaine.
  • Utiliser des produits doux au quotidien : Éviter les détergents trop acides ou chlorés en usage régulier. Privilégier des mélanges à base de savon noir, vinaigre blanc dilué ou produits certifiés pour substrats fragiles.
  • Inspecter régulièrement l’état des joints : Localiser les fissures ou les zones qui changent de couleur permet d’agir rapidement avec des retouches ou un traitement adapté, avant que les dégâts ne s’étendent.

Ces gestes simples ne demandent que quelques minutes par jour ou par semaine, mais affichent un impact significatif sur la propreté des joints de carrelage au quotidien. Intégrés à une routine d’entretien bien pensée et adaptée à chaque pièce, ils permettent de prévenir les interventions lourdes et de conserver plus longtemps un rendu net et homogène.

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Tableau des produits de protection et imperméabilisants pour prolonger leur durée de vie

Pour assurer la durabilité des joints de carrelage, notamment dans les pièces humides ou les zones extérieures, l’application de produits de protection s’impose comme une étape essentielle. Hydrofuges, oléofuges ou encore protecteurs anti-salissures — ces solutions techniques créent parfois à l’œil nu un film invisible qui limite la pénétration de l’eau, des graisses et des impuretés, retardant ainsi l’encrassement tout en préservant l’esthétique initiale. Le tableau suivant propose un recensement des principaux types de produits imperméabilisants et leur domaine d’application selon les besoins spécifiques des surfaces carrelées.

Type de produit Fonction principale Support compatible Fréquence d’application Avantages
Hydrofuge transparent Empêche la pénétration de l’eau Joints ciment, pierre naturelle, béton 1 fois / an Invisible, diminue l’humidité résiduelle
Oléofuge Protège contre les taches grasses et huileuses Cuisine, plans de travail, crédences 1 à 2 fois / an selon usage Prévient l’absorption des aliments et acides
Hydrofuge-oléofuge combiné Double action contre eau et graisse Extérieurs, terrasses, carrelages exposés 1 fois tous les 2 ans Longue tenue, idéal conditions extrêmes
Protecteur effet mouillé Rehausse et protège l’aspect du carrelage Pierres poreuses, tomettes, grès brut Selon rendu souhaité (effet décoratif) Aspect satiné, protection esthétique et technique
Résine de protection pour joint Forme une barrière étanche sur le joint Joints muraux et sols intérieurs Après chantier ou rénovation Empêche la porosité, facilite le nettoyage

Avant toute application, il est crucial de respecter les préconisations du fabricant et de s’assurer que la surface soit parfaitement propre et sèche. L’usage de ces produits est particulièrement recommandé après un nettoyage profond ou un réfugage partiel des joints, afin de sceller durablement leur protection et éviter les infiltrations futures.

Repeindre ou refaire les joints : quand faut-il passer à l’action ?

À mesure que les joints de carrelage vieillissent, il devient essentiel de discerner quand un simple rafraîchissement visuel suffit, et quand une réfection complète s’impose. Repeindre les joints peut paraître attrayant lorsque ceux-ci ont perdu leur blancheur ou leur couleur d’origine à cause des salissures ou du jaunissement. Cette solution, efficace à court terme, convient uniquement si les joints sont encore intacts structurellement. Une peinture spéciale pour joint, résistante à l’humidité et aux produits d’entretien, permet de raviver l’esthétique pour quelques mois, notamment dans des zones peu sollicitées comme une crédence ou un mur de WC. En revanche, si les joints présentent des signes d’usure tels que fissuration, effritement, ou perte de matière, la revalorisation esthétique ne suffit plus : il faut alors envisager un re-jointement complet.

Certains indices ne trompent pas : un joint qui s’efface sous le passage de la main, qui laisse filtrer l’humidité, ou qui génère la formation de moisissures en continu malgré les nettoyages, révèle une perte de performance. Dans les pièces exposées comme les douches à l’italienne, les abords de baignoire ou les terrasses extérieures, cet aspect n’est pas qu’esthétique — il conditionne l’étanchéité du support et la protection du bâti. Refaire les joints devient alors une opération indispensable. Celle-ci nécessite d’enlever mécaniquement l’ancien joint, de nettoyer les interstices, puis de réappliquer un mortier ou mastic adapté à l’usage (époxy, ciment hydrofuge, ou spécial extérieur).

Voici quelques cas typiques où il est conseillé de passer à l’action sans tarder :

  • Joints qui s’effritent ou se creusent : perte de cohésion perceptible au toucher ou visuellement.
  • Infiltration d’eau : apparition de suintements, auréoles ou zones humides sous ou autour du carrelage.
  • Difficulté à nettoyer les taches noires : même après nettoyage à la vapeur ou produits spécialisés, certains joints restent tachés en profondeur.
  • Apparition de mauvaises odeurs persistantes : souvent le signe d’une contamination fongique profonde.
  • Projets de relooking ciblé : changement de couleur de joint pour moderniser ou harmoniser l’espace, après vérification de l’état du support.

Intervenir au bon moment, avant que les détériorations ne touchent le carrelage ou les surfaces portantes, permet de limiter les frais tout en garantissant la sécurité et la longévité de l’ouvrage. Le choix entre repeindre, retoucher ou refaire intégralement les joints dépend donc à la fois de l’état visible et de l’usage prévu de la pièce.

Yan

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